• CHAPITRE 17 :  Thomas, Poudlard et le début de la guerre

    chpitre 17

    -  Ne dis pas de bêtises, veux-tu, dit Hermione essayant de ne pas penser à cette éventualité.

    - Tu prends tes précautions, ma chérie ? demanda Druella inquiète

    -   Je……. Non…… Tom ne m’en laisse pas le temps, se dit-elle à elle-même. Qu’est-ce que je vais faire si je suis enceinte ? s’écria Hermione, un peu paniqué.

    -  Mais ma chérie, ce n’est pas grave ! fit son amie pour la rassurer, il faut peut-être en parler au seigneur des ténèbres.

    -  Surement pas, Druella fais moi la promesse de ne rien dire à Voldemort ou à Cygnus. Ils ne doivent pas savoir !

    -  Promis, je ferais ce que tu veux ! s’exclama Druella.

     

    Après la réunion, Druella partit avec son mari et Hermione se rendit auprès de Voldemort, et s’essaya à ses côtés, il réfléchissait et elle attendit qu’il la remarque et lui parle.

    -  Que se passe-t-il ? demanda-t-il avec prestance.

    - Je voudrais partir quelques temps chez une amie, je…………

    -  Je ne veux pas que tu partes, et j’obtiens toujours ce que je veux, fit-il en se levant et tirant Hermione à lui, tu le sais ma Lady.

    Ainsi, elle serait la Lady, elle avait un peu compris mais entendre ce mot de la bouche de Voldemort lui fit comprendre tout le sens de la vie, tout le sens de la chose, elle serait celle qui causerait la fin du monde libre des sorciers, elle serait celle qui tuerait Harry Potter, son ancien ami, et bizarrement, elle ne sentit ni peine, ni tristesse, ni joie, ni colère, ni haine. En fait, elle ne sentait rien du tout.

    Tom la plaqua contre un mur du salon et la prit avec violence, Voldemort ne la laisserais pas partir, elle resterait auprès de lui comme toujours.

     

    L’esprit et le corps d’Hermione par sa volonté et sa peur, ne laissa rien paraître de son état. Même si chaque matin, elle se levait avec la peur au ventre et le soir se couchait un peu rassurée, mais le jour suivant cela recommençait.

    Pouvait-elle aimait cet enfant quand dans son cœur était vide ?

    Elle sentit qu’elle perdait les eaux, elle partit un peu précipitamment à Ste Mangouste.

    - Madame, vous êtes prête, fit une jeune médicomage, Poussez.

    Hermione poussa de toutes ses forces, elle avait tellement mal, cette douleur dans son bas ventre, elle voulait qu’elle s’arrête. Après avoir pousser de nombreuses fois, après souffert de nombreuses heures. Un cri se fit entendre, et se fut une libération pour Hermione et le bébé.

    - Félicitation, Madame, vous avez un magnifique garçon, fit un médicomage assez âgé avec un grand sourire et posa le bébé propre dans les bras de la jeune mère.

    Les deux êtres se regardèrent un moment, puis le bébé ferma les yeux et une larme coula sur les joues d’Hermione. Elle ne pouvait garder cet enfant, ni vivre à ses côtés, et encore moins quitter Tom, celui-ci ne lui pardonnerait pas, la pourchassant jour et nuit, il tuerait le peu d’amis, qu’elle avait. Et Voldemort n’était pas prêt pour avoir des enfants, il n’en voulait pas !

    Et pour protéger son fils, il n’y avait qu’une seule solution : l’abandonner.

    Mais qui pourrait prendre soin de lui, qui pourrait l’aimer, lui trouver une bonne famille, un seul nom vint à son esprit : Dumbledore.

    Après trois jours, seulement, passés avec son fils qu’elle avait baptisé Thomas. Elle écrivit un mot à Dumbledore.

    «  Il s’appelle Thomas, prenez soin de lui »

     

    Elle transplana dans le village de Pré-au-Lard, que des souvenirs lui revenait en mémoire. Elle avança vers le tête du sanglier, là où travaillait Alberoth, le frère d’Albus Dumbledore et en ce matin du 20 juillet 1960, elle abandonna son bébé devant le porte du pub.

    Elle transplana auprès de Tom, celui-ci le vit arriver, elle était partit un peu précipitamment pour aller voir ses amies, Voldemort avait eu peur pour les choses qu’elle savait mais elle était de retour, c’était comme une « joie » une libération de la voir ici.

    -  Bonjour, fit-elle d’une voix joyeuse.

    -  Bonjour Lady ! répondit-il légèrement contrarié, tu rentres au bon moment, j’ai une mission à te confier.

    -  Chouette ! dit-elle en sortant de la pièce en direction de sa chambre.

    Elle y entra et se laissa glisser le long de la porte, elle devait oublier son fils, c’était la seule solution pour le protéger. Elle expira à fond et murmura « oubliettes » en pointant sa baguette vers elle-même. Elle sombra dans l’inconscience  pendant quelques minutes, elle se réveilla en se demandant ce qu’elle faisait là. Elle avait oublié.

    Le lendemain, Tom et Hermione se rendirent à Poudlard. Ils laissèrent Mulciber, Nott, Dolohov et Rosier à la tête du sanglier et se rendirent tous deux à Poudlard. Jedusor alla directement au bureau du directeur pendant que Perevell se rendit dans le couloir du septième étage, à la salle sur demande pour y cacher une étrange objet.

    - Je veux un endroit pour cacher quelque chose, pensa-t-elle en passant trois fois devant le mur.

    Une porte apparut, elle l’ouvrit et se glissa dans la pièce et déposa l’objet, le diadème de Serdaigle. Elle repartit et retrouva Tom et les autres dans la maison.

    Voldemort était vraiment en colère et très contrarié. Il fit l’amour à Hermione pour « soulager » sa fureur dans la chambre de cette dernière, puis la laissant, elle se rhabilla, elle avait l’habitude maintenant.

    Plusieurs années passèrent ainsi, une rumeur sur les projets et les exploits de Voldemort se fit entendre, cette rumeur devient une peur sans nom. Chaque fois qu’une personne prononcé le nom de Voldemort, celui-ci de faisait tuer ou torturer par les mangemorts. Si bien qu’au fur et à mesure du temps, les gens se mirent à avoir peur de prononcer son nom, il devient celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom.

     

    Le monde changea devenant plus « peureux », plus cruel, Hermione aimait bien cet état d’esprit du monde, chacun pouvait soupçonner son voisin de faire partit des mangemorts ou de donner des infos à Voldemort. Plus personne se lié d’amitié avec d’autres. Le seigneur des ténèbres régnait sur le monde des sorciers mais un groupe résister : L’ordre du phénix dirigé par Dumbledore.

    Hermione restait auprès de Voldemort pour l’aider dans ses plans, ses réflexions, elle restait souvent dans la maison car elle ne voulait pas qu’on la reconnaisse. Elle passait son temps à torturé esprits et corps de leurs prisonniers.

    L’année 1971 commença

    -  Tom, cria Hermione alors qu’ils étaient seuls. 

    -  Ne m’appelle plus comme ça, je te l’ai déjà dit, fit-il avec colère.

    -  Oui, oui, répondit-elle le regard joyeux, j’ai une bonne nouvelle, le ministère est prêt à tomber, il faut faire face à l’ordre du phénix, maintenant, il est le dernier pilier qui empêche d’accéder au pouvoir.

    - C’est effectivement une excellente nouvelle, dit-il en se levant de son fauteuil,

    Il appela ses mangemorts, tous apparurent, Hermione alla s’installer dans le fauteuil de Voldemort pendant que celui-ci donner ses ordres. Nagini était au-dessus du fauteuil et se laisser caresser la tête par la jeune femme. Le seigneur des ténèbres avait perdu ses cheveux et ses yeux étaient pratiquement toujours rouges de colère sauf quand ils se posaient sur Hermione, quelques fois on pouvait y lire la flamme du désir. Il congédia ses mangemorts et s’approcha de « sa » Lady, elle avait maintenant 40ans, mais elle était toujours aussi belle avec son regard chocolat et ses cheveux noirs. Il lui tendit la main, elle la saisi et il l’attira à lui.

    -  C’est mon fauteuil, fit-il avec autorité.

    - Oui, oui, répondit-elle, en s’éloignant vers la sortie, je vais dans la bibliothèque, ajouta-t-elle dans un air coquin.

    Tom s’asseya qu’allait-il faire d’elle. Elle était trop présente, savait trop de chose, lui obéissait rarement, heureusement elle était silencieuse quand ses partisans étaient là, sinon cela affaiblirait son autorité. Que pouvait-il faire d’elle ? La tuer ? La torturer ? L’enfermer ? Rien de tout ceci n’était envisageable, elle était bien trop puissante pour perdre un atout telle qu’elle. Il devait faire avec et puis à chaque fois qu’il voyait son corps superbe, il ne pouvait pas s’empêcher d’éprouver du désir. Elle était à lui !

    Hermione lisait tranquillement dans la bibliothèque, car dorénavant ils vivaient dans un grand manoir caché, dont le gardien du secret n’est autre que Voldemort. Perevell avait du mal à dire, Seigneur, Maître, ou Lord pour elle, il était Tom. Une fois, elle avait essayer Voldy, cela l’avait mis dans une colère noire.

    Voldemort était derrière elle, Hermione l’avait sentit se présence mais ne bougeait pas. Ses longs cheveux noirs arrivaient maintenant jusqu’aux genoux.

    - J’ai une mission à faire, tu viens ? demanda-t-il soudain.

    -  C’est quoi cette mission ? interrogea-t-elle sans se retourner

    Voldemort s’avança vers elle, se baissa et approcha sa bouche de son oreille et murmura :

    - Allons chasser du sorcier ! fit-il

    Il appela ses mangemorts et ils apparurent très vite !

    - Mmmh, répondit-elle en se relevant.

    Elle n’aimait pas torturer les Moldus ou les cracmols, ceux-ci ne se battaient pas, ceux-ci ne se défendaient pas, ceux-ci étaient trop faibles. Elle préférait les combats, les duels contre les sorciers. Ils transplanèrent sur le chemin de travers, tous se stoppèrent, les gens regardèrent autour d’eux, voyant les mangemorts, la Lady et Voldemort, ils crièrent et essayant de transplaner mais Hermione avait déjà lancé un sort anti-transplanage. Alors que les mangemorts s’amusaient à torturer les « simples » sorciers. Hermione attendait les aurors et l’ordre du phénix, pour mieux rigoler. Elle leva les yeux vers son ancien appartement au dessus de Mme Guipure, rien n’avait changé, elle ferma les paupières, cela ne lui ressemblait pas d’être nostalgique. Un sort la frôla de peu, et se baissa au dernier moment.

    - Avada Kedavra , s’écria la voix de Voldemort sur l’auror qui avait attaqué Hermione. Fait un peu attention, ajouta-t-il agacé.

    -  Oui, oui !

    Elle se lança dans le combat, tortura et stupéfixiant de nombreux sorciers, et aurors, elle n’avait jamais tué une personne directement, elle avait torturé, enfermé mais jamais elle n’avait prononce ces deux mots synonymes de mort. Enfin Dumbledore apparut, il avait laissé sa chère école, Hermione avait tellement, changé que même lui ne la reconnut pas.

    -  Tom, que fais-tu ici ? demanda calmement Dumbledore

    - Ce n’est pas moi, c’est ma Lady, qui voulait te rencontré.

    Dumbledore fut surpris pourquoi la « femme » de Voldemort, voulait le voir, il avait entendu parler d’elle mais avait très peu d’information sur elle.

    -  Bonjour, professeur, susurra-t-elle avec un sourire.