• CHAPITRE 15 : Les vols et les secrets du livre

    Chapitre 15

    Tom et Hermione se trouvaient devant la maison de Smith, deux jours après son entrevue avec le jeune Jedusor.

    - Tu te souviens de ce que tu dois faire ? s’impatiente Tom

    - Oui, répondit la jeune femme très excitée de faire quelque chose d’illégal.

    Tom se leva et frappa à la porte, la petite elfe l’ouvrit et écarquilla des yeux mais Tom entrèrent, avec l’elfe et fermèrent la porte.

    - Qu’est ce qui se passe ? fit la voix ensommeillée d’Hepzibah.

    Elle descendit et vit le jeune Jedusor accompagné d’une jeune femme exquise, elle voulut crier mais le silencio d’Hermione la frappa de plein fouet.

    - Va chercher les objets, je m’occupes d’elle, murmura Tom.

    Hermione s’élança dans un couloir et trouva les écrins, elle trouva la coupe et le médaillon, elle revint dans l’entrée. Mme Smith avait disparu ainsi que Tom et l’elfe, la jeune femme voulut monter à l’étage mais le jeune Jedusor lui avait interdit. Elle attendit quelques minutes et vit Tom descendre, les yeux rougeoyants.

    - On s’en va ! fit-il d’une voix calme, trop calme.

     

    Deux jours plus tard, Hermione trouva un article dans la gazette des plus troublants dans son bureau, la jeune femme étala le journal « La Gazette des sorciers », et se plongea dans la lecture. Il s’agissait d’un petit fait divers.

     

    « Hier, sous l’inquiétude de la famille Smith, qui était sans nouvelle de leur parente Hepzibah Smith. La brigade magique est entrée à trouver la vieille dame, morte dans son lit.

     

    D’après nos dernières informations, il s’agirait d’un accident en effet l’elfe de la maison aurait donner un poison peu connu à sa maîtresse dans se chocolat, à la place du sucre.

     

    Marie Crabblen »

     

     

    Tom était vraiment un grand sorcier, on ne pouvait pas le nier, mais il est vrai que quelques fois, il faisait peur à Hermione. Le jeune femme veillait à ne pas éveiller sa colère, sinon il la forcé à faire l’amour avec lui, sa colère contre Hermione éveillait en lui un désir charnel et ne se gène pas pour assouvir cet envie.

    Normalement, ce soir, il irait voler le livre, mais cela risquait d’être plus difficile car le vieux Modlubec ne vivait pas seule dans sa grande maison.

    - Comment on va faire pour ton livre ? demanda Tom alors qu’Hermione veniat de franchir la porte de retour du travail.

    - Je ne sais pas, Tom, il y a beaucoup de mondes dans la maison, il y a le vieux, le couple et la petite fille plus les elfes de maisons.

    - Il faut créer une diversion pour qu’il sorte de la maison, fit le jeune Jedusor.

    - Il suffit de mettre le feu à la maison, un feu magique ? proposa Hermione.

    - Mmmh, se compte de répondre le jeune homme.

     

    Après le repas, ils allèrent à la maison de la famille Moldubec. Tom transplana le plus prés de la maison, il mit le feu, il s’embrassa à une telle vitesse, Hermione était à l’autre bout de la maison, elle se glissa dans la maison et récupéra le livre. Elle se retourna et fit face au vieux Moldubec. Hermione fut surprise, elle ne savait pas comment réagir.

    - Que faites-vous miss ? fit le vieux monsieur surpris.

    - Je…….

    - Avada Kedavra, fit la voix de Tom, et le vieil homme tomba raide mort, les bras en croix. Viens on se tire, cria-t-il à Hermione mais celle-ci ne bougeait pas tenant son livre serrée contre elle, regardant l’homme étendu devant elle.

    Il la prit par le bras et la fit transplana avec lui dans leur maison. Il la poussa sur le canapé où elle s’asseya effondrée, elle n’avait pas peur, elle avait chaud et le regard dans le vague. Tom lui mit une paire de baffes retentissante, elle se réveilla en criant :

    - Mais ça va pas ?

    - Tu étais perdu, fit-il avec colère, qu’est ce qui t’a pris pourquoi tu as hésité ?

    - Je….. J’ai…..

    - Tu ne voulais pas le tuer, n’est ce pas ? demanda Tom

    - Oui, répondit-elle timidement ! J’ai chaud Tom ! Je me sens étrange !

    Il s’approcha d’elle et le fit se relever, il la regarda, et lui prit le visage dans une main pour le soulever vers lui, les yeux d’Hermione reflétaient de la peur, de la souffrance, et de la tristesse et un peu de panique. Il aimait ce regard, il prit les lèvres d’Hermione brutalement et celle-ci ferma les yeux savoura ce moment, elle voulait vraiment qu’il lui fasses l’amour, elle avait si chaud. Il continua à lui torturait les lèvres et elle entrouvrit la bouche, il glissa sa langue et commença une danse endiablée avec celle d’Hermione. Il la poussa sur le canapé et s’allongea sur elle. Les vêtements disparurent vite. Il pénétra la jeune femme avec force et violence comme il en avait l’habitude. Celle-ci avait chaud, elle lui griffa le dos et gémissant sous la douleur et le plaisir. Après l’acte, Tom retourna dans sa chambre comme calmée et détendue. Hermione se leva et récupéra ses vêtements avant d’aller dans sa chambre, prendre une douche. Elle laissa couler l’eau sur sa peau, la soirée avait été dure en émotions.

     

    Après sa douche, elle se glissa dans son lit et se plongea dans la lecture de son livre, tout cela avait été fait pour ce manuel. Le premier chapitre parlait des secrets de cette magie. Elle maitrisait les éléments de la nature avec une incantation précise, il était possible d’utiliser ses formules sans baguette. Hermione se concentra sur le vent et prononça la formule avec la simple formule « Vindr ». Un vent délicat se leva dans la chambre, elle le stoppa en criant « Letta » qui veut dire stop, arrêter.

    Elle continua sa lecture étant sur les découvertes de nouvelles formules magiques :

    - Adurna : Eau

    - Vindr : Le Vent

    - Brsingr : Le Feu

    - Deloi : La Terre

    - Letta : Stop

    - Skolir : Bouclier

    - Zar’roc : Souffrance

    - Garzla : Lumière

    - Andlat : La Mort

    Hermione s’endormit sur le livre, chaque chapitre parlait d’un mot, d’une formule, d’un pouvoir en particulier. La respiration de la jeune fille était calme et apaisée.

    Le lendemain, elle fit part de ces découvertes à Tom, celui-ci ne sembla pas plus intéressé que ça, il savait faire du feu avec sa magie, pourquoi en apprendre une autre.

    Un avertissement signé par le professeur Alfred Perline, était écrit à la plume dans la dernière page de couverture, comme un avertissement pour le possesseur du livre et l’utilisateur de cette magie.

     

    « Tout est lié à la puissance du cœur, l’amour, l’amitié, la haine, la tristesse ou la colère, tout est bon pour déclencher ce pouvoir. Il faut aussi posséder un sang particulier que très peu de sorciers possèdent, je l’ai remarqué chez une jeune moldue du nom de Sarah Meilleur, elle possède un certain gène et une prédisposition à la magie. Ce qui implique que seul « un sang de bourbe », pourra utiliser ces mots de plus, il faut aussi posséder ce gène. Ce qui explique que très peu de personne puisse utiliser cette magie, une sur un milliard. Donc elle a été abandonnée par le ministère lors de la construction de Poudlard par mon vieil ami Salazar.

    Un dernier avertissement pour le possesseur de cette magie, si tous sentiments venaient à disparaître de son cœur, la magie deviendrait inefficace. Sarah, ma douce, à tout perdu le jour de la mort de notre fils, Albert, il n’avait que deux ans. Je vais aller lui administrer son médicament, sa potion, elle devient de plus en plus faible chaque jour. Je crains la fin !

     

    Alfred Perline

    909 ap. JC. »

     

     

    Hermione imaginait un vieux sorcier, ayant fait de nombreuses recherches sur le monde magique et aurait découvert l’amour avec une jeune moldue capable de maitriser une autre forme de magie.

    La jeune Perevell était une de ces personnes sur un milliard, si on se fit à ces statistiques, il existait cinq autres personnes capables de maîtriser cette magie. Statistiquement parlant la possibilité qu’une autre personne connaissait le monde magique et les mots à employée, tenait à l’impossible. Hermione devait être donc la seule à manipulé cette magie en ce monde et elle veillerait à le rester.

     

    Quelques jours plus tard, l’atmosphère du quartier du chemin de traverse changea radicalement., Alors qu’avant les « accidents » de Smith et Moldubec, le quartier était plutôt calme et serein, il devenait plus trouble et méfiant. Les plus folles rumeurs courraient, les sorciers avaient été soulagés depuis la défaite de Grindelwald face à Dumbledore. Mais maintenant avec ces « accidents » étranges, les gens parlaient de l’arrivée d’un nouveau mage noir.

    Mme Croupton, l’auror, avait reçu de nombreuses informations anonymement sur « l’accident » de Moldubec, qui d’après les dernières expertises était un meurtre. Elle arriva donc à la librairie de Fleury et Bott et demanda à voir Hermione Perevell.

    - Bonjour Miss Perevell ? fit Mme Croupton

    - Bonjour Mme Croupton, cela faisait longtemps que nous nous étions pas vu, trois ans, non? Répondit sarcastiquement Hermione.

    - Exactement !

    - Je suis contente de vous revoir, dit la jeune gérante sur le même ton.

    - Est-il vrai que vous avez reçu la visite de Moldubec, peu avant que sa maison brûle ? interrogea l’Auror

    - Oui, il avait un livre à expertiser, répondit la jeune femme dans un sourire.

    - Intéressant ! Quel était le titre de ce livre ? demanda Croupton

    - La « Wicca Ultima », c’est un livre très rare que la famille Moldubec aurait pu vendre au moins mille Gallions.

    - Aurait pu ? fit l’Auror

    - J’imagine qu’il a brûlé, non ?

    - Et bien, voyez-vous il ne l’est pas, il a été volé, monsieur Moldubec n’est pas mort brûler, d’après les experts, il serait mort puis le corps aurait brûler et nous l’avons retrouver prés de l’endroit où était ce fameux livre. Nous avons supposé, continua-t-elle d’une voix audible et légèrement menaçante, que la victime a surpris son voleur et celui-ci l’a tué. Hors d’après le témoignage de la famille, très peu de personne savait que Monsieur Moldubec possédait ce livre. Avez-vous quelque chose à dire ? demanda Croupton.

    - Non, je me demandais où vous vouliez en venir, je n’ai tué personne et puis vous pouvez pas prouver le contraire, répondit Hermione

    - Donnez-moi votre baguette, Miss Perevell, ordonna l’Auror.

    Ses yeux lançaient des éclairs. Elle n’aimait pas cette gamine depuis son arrivée à Poudlard, malgré la confiance que lui accordait Dumbledore. Cette gamine se croyait invincible, au dessus des lois.

    - Priori Incanto, rugit Croupton, elle était très en colère et malgré quelques menaces, Hermione restait calme, cela exaspère l’Auror.

    Un feu magique apparut, puis un vent, puis le sortilège Recurvite, et quelques autres sorts mais aucuns impardonnables.

    - Bien, fit Croupton en rendant sa baguette à Hermione qui souriait, elle raccompagna l’Auror en étant désolée de ne pas pouvoir l’aider dans son enquête.

    - Vous pouvez être sûre que je n’en ai pas fini avec vous, menaça Croupton en sortant de la boutique, capuche sur la tête.